Joseph, 62 ans, n’a pas attendu que le troc alimentaire redevienne une tendance pour en être un fervent adepte. En effet, ce jeune retraité qui possède un potager dans l’agglomération toulousaine échange son trop plein de légumes à ses proches voisins contre des plats préparés. Il nous confesse pouvoir économiser jusqu’à 800 euros par an en troquant de cette manière. Il fait partie du mouvement du food swapping, venu des États-Unis et en plein développement en France. Le troc n’a pas dit son dernier mot, il conquiert aujourd’hui nos pratiques alimentaires, en partant de Toulouse.
↧
Toulouse est pionnière du food swapping
↧